Répondre collectivement aux défis locaux
Depuis une décennie, la co-construction territoriale se développe à la fois pour réduire les fragilités et inventer localement de nouveaux moteurs de développement économique durable. A partir de l’expérience des pionniers, une diversité d’outils pour s’informer, se former et agir efficacement ont été capitalisés.
Vision systémique des défis locaux |
L’émergence d’une 3ème ingénierie territoriale |
Vous trouverez dans le kit pratique “co-construction territoriale” :
Des enjeux à la pratique
Pour piloter la complexité, il convient à la fois de relire le cheminement de son écosystème, de le relier aux mutations à l’œuvre et d’en articuler les enseignements avec son propre positionnement.
Tous les documents sont accessibles à partir de la plateforme “l’innovation territoriale en actions”
Savoir qualifier sa maturité
La méthode d’appropriation du RAMEAU est fondée sur le « learning by doing ». Seule sa propre expérience est un moteur de mise en action et de conduite du changement. Le laboratoire de recherche empirique propose donc de débuter son cheminement par un autodiagnostic objectif et systémique. Où en êtes-vous de votre propre démarche ? Quels sont les outils pour vous éclairer ? Qui peut vous inspirer ?
Un autodiagnostic pour évaluer sa maturité :
Des outils issus de la pratique des pionniers pour aider à se positionner : vous trouverez dans l’autodiagnostic les références d’outils permettant d’éclairer les différents sujets abordés.
Ils peuvent témoigner de l’utilité de la démarche : cet autodiagnostic et ces outils ont été conçus sur le terrain au travers de recherche-actions avec des acteurs pionniers qui les ont testés.
Merci à la ville Charenton, les Labo des partenariats, PTCE les Mureaux, Villes au carré …
Monter en compétences au travers de retours d’expériences pertinentes
Plus que les moyens matériels ou les processus, le facteur clé de toute démarche apprenante est la compétence de celui/celle/ceux qui pilote(nt) la dynamique. Le RAMEAU propose donc un accès libre à de multiples moyens de s’autoformer aux pratiques innovantes.
Un MOOC pour se former : L’ESSEC et Le RAMEAU vous proposent sur Coursera.org le MOOC « les alliances qui changent les territoires ». Il éclaire sur la diversité des modes de co-construction, leurs objectifs, conditions de déploiement et d’évaluation. Ce MOOC est construit autour de 4 séances de 2h, articulant des témoignages de praticiens, le regard d’experts, des vidéos de synthèse des enseignements, des quizz et des outils pratiques. | MOOC sur la co-construction territoriale |
Une diversité de formats disponibles pour s’approprier les résultats à son rythme et selon ses besoins : vous pouvez aussi retrouver les niveaux d’information et de formation qui vous conviennent au travers de
Disposer des outils nécessaires pour passer à l’action
Après avoir appréhendé la question de manière systémique, établi son propre diagnostic de maturité, et s’être éventuellement formé aux techniques nouvelles, il est nécessaire de disposer de la « boite à outils » nécessaire pour agir efficacement. Le RAMEAU met à disposition les principaux méthodes et outils qui ont été conçus et expérimentés durant ses travaux de recherche. Ces derniers ne sont mis en partage qu’après un minimum de 7 ans d’expérimentation pour en garantir non seulement la performance, mais aussi la pertinence.
Des lieux d’échanges pour partager entre « pairs » : Le RAMEAU anime le Réseau des pionniers des alliances en territoire (350 catalyseurs locaux). N’hésitez pas à nous contacter.
Pour aller plus loin, vous pouvez aussi consulter :
- Les études de l’Observatoire des partenariats, et la base de données IMPACT-Pratiques innovantes qui illustre les démarches inspirantes avec de plus de 150 études de cas.
- Le site du RAMEAU pour suivre l’actualité de l’innovation partenariale au travers du blog, pour vous inscrire à la Newsletter mensuelle, et/ou recevoir le bulletin de veille et d’analyse de l’innovation sociétale en France et dans le monde.
- Le site « Co-construisons demain » pour connaitre les racines du mouvement de co-construction du bien commun, et avoir accès aux rapports et livres collectifs publiés sur ce mouvement et sur les mutations de l’intérêt général en France.